Stormy Brain Posts

L’Homme déçu

J’aimerais être aveugle pour ne pas voir les horreurs qui nous entoure. J’aimerais être sourd pour ne pas entendre la bêtise humaine. J’aimerais être muet pour ne pa avoir à le dire. J’aimerais être manchot pour ne pas avoir à l’écrire. J’aimerais être cul de jatte parce que l’Homme va trop loin. J’aimerais être acéphale pour ne pas avoir a y penser. Mais surtout… surtout… J’aimerais ne pas avoir de coeur, pour ne pas avoir à aimer…

Happiness

Happiness is not a gift. It’s the result of all the risks you take to be happy. It’s all the risks to be sad, that you take, to have your chance. Happiness is not a goal, it’s what happen when you just try to live your life. You cannot be happy, you can just catch those moments when life is smiling at you. Happiness is not a price, it’s like the faith, you have to believe to it, whatever your thoughts. Happiness is not a switch, it’s not black or white, or even gray. It is. Period.

SOooooo, don’t worry… Be happy !

Image from my F@!# brain

Gabriel terrassant le Dragon.

Rien à voir avec Saint-Michel…

Comment attrape-t-on les papillons ?

Il y a des moments dans la vie où l’on croit que tout vas de travers, où on pense que le monde est contre nous, où il nous arrive pleins d’emmerdements d’un coup ou même simplement de manière régulière et répétées.

Pas d’inquiètude ! Tant que le soleil brille au dessus de notre tête, rien n’est perdu ! 🙂

Apparté : On attrape pas les mouches avec du vinaigre. Mais comment attrape-t-on les papillons ?

Déjeuner en paix

On me posa récement la question bateau que tout le monde connait et qui est :

“Si tu devais partir sur une île déserte et n’emmener qu’une seule chose avec toi, que serais-ce ?”

Eh bien, soit je veux bien répondre…

Si je devais partir sur une île déserte et n’emmener avec moi qu’une seule chose, cela serait la paix.

Je m’en occuperais bien de la paix.

Je l’aiderais à grandir d’avantage chaque jours, je lui chanterais des berceuses pour la garder calme.
Je lui raconterais des histoires où les méchants n’existent pas.
Je la blotirais contre mon coeur afin qu’elle se sente aimée.
Je lui raconterais l’histoire de sa triste jumelle, la guerre, qui a mal tourné parce qu’on n’était pas assez à son écoute.
Je lui laisserais prendre tout l’espace qu’elle désire, l’incitant chaque jours durant à ce qu’elle grandisse, d’avantage et d’avantage.
Je lui ferais confiance et la laisserait jouer et s’amuser avec les étrangers de passage sur mon île.
Je lui donnerais chaque jour toute l’eau qu’elle désire.

Si je devais partir sur une île déserte et n’emmener avec moi qu’une seule chose, cela serait la paix.